Difficile de ne pas succomber au charme de Cascais, une station balnéaire aussi jolie que populaire ! Située à environ 30 kilomètres de Lisbonne, elle offre une côte bordée de 17 plages superbes, un port de plaisance…
Si vous hésitez à aller la découvrir lors de votre voyage, je vais dans cet article vous emmener la visiter et vous expliquer que faire à Cascais. Nous explorerons ensemble des lieux emblématiques comme les jardins du Marechal Carmona, la Boca do Inferno et les abords du joli phare de Santa Marta…
De quoi vous décider, peut-être, à opter pour un séjour à Cascais ou une journée sur place au départ de Lisbonne !
Visiter Cascais : entre charme et sophistication
Cascais m’a fait une très bonne impression dès la descente du train. Elle dégage une atmosphère tranquille de station balnéaire très agréable. On croise des places à taille humaine avec des marchands, la brise qui soufflait ce jour-là agitait les attrape-rêves et autres ponchos en laine faits main…

En continuant à marcher, on débouche sur une petite plage de sable, la Praia da Ribeira. C’est le lieu idéal pour flâner depuis les premières heures du matin jusque tard le soir. On peut y acheter des glaces puis aller les déguster sur la jetée qui s’avance vers l’Atlantique, peuplée de nasses à poissons.

Ce quartier est dominé par la silhouette du Palácio Seixas, une belle demeure construite entre 1920 et 1930 par Henrique Maufroy de Seixas que l’on aperçoit sur la photo ci-dessous. Le bâtiment dépend du bureau du chef d’état-major de la marine portugaise et accueille des événements.
Cascais est en réalité une très grosse ville, qui compte plus de 200000 habitants. Elle attire aussi bien les touristes que de riches Portugais, sans compter l’afflux massif de retraités étrangers qui viennent s’y installer pour profiter de son climat et de son ambiance agréables.

La ville a acquis ce statut un peu particulier dès les années 1870 : à l’époque, la famille royale du Portugal a commencé à venir passer ses vacances d’été entre Sintra – dans les terres – et Cascais – en bord de mer, suscitant en conséquence l’intérêt de l’aristocratie locale… puis des dirigeants étrangers. Le roi d’Angleterre Edward VIII y est ainsi venu en vacances, tout comme Juan Carlos I – roi d’Espagne.
Cet attrait pour la ville a aussi permis de la développer, en améliorant la qualité des routes (aussi bien les routes de Cascais même, que celles menant à Lisbonne ou à Sintra), les infrastructures (première commune du Portugal équipée d’électricité dans les rues, construction de l’un des premiers marégraphes d’Europe pour mesurer le niveau de la mer et création du premier laboratoire océanographique du Portugal dans la citadelle de Cascais)…
Aujourd’hui, Cascais reste l’une des municipalités les plus riches du Portugal mais a réussi l’exploit de conserver une ambiance paisible et charmante.
Cela fait bien longtemps que Cascais ne vit plus de la pêche et des produits de la mer, même si c’est ce qui aurait donné son nom à la ville (« Cascais » dériverait de « cascas », les « coquilles », que l’on pouvait ramasser en abondance sur la côte).
Néanmoins, elle reste tournée vers la mer, avec une grande marina pouvant accueillir 650 bateaux.

Que faire à Cascais ?
À quoi s’attendre quand on décide de visiter Cascais au Portugal ?
Les plages de Cascais
La côte portugaise dont fait partie Cascais comporte 17 plages. Vous vous en doutez, elles ne sont pas toutes situées à proximité du centre-ville.
Il y a d’abord quelques plages très pratiques car elles sont faciles d’accès à pied depuis le centre de Cascais et permettent de se baigner assez facilement sans que les vagues soient trop grosses. Ce sont donc des plages parfaites si vous avez des enfants, que vous voulez vous détendre sans aller trop loin ou que vous n’avez pas de moyen de locomotion sur place.
Elles ont l’inconvénient de leur avantage : comme ce sont de petites plages, elles se retrouvent vite bondées lorsque les températures grimpent.
Il y a par exemple…
- Praia da Ribeira – Je vous en ai déjà parlé, c’est sans doute l’une des plus touristiques.
- Praia da Rainha – Un minuscule petit bout de plage à 3 minutes à pied de la gare de Cascais !
- Praia da Conceição et sa voisine la Praia da Duquesa, très prisées elles aussi. À deux pas, il existe une piscine d’eau de mer aménagée, la Piscina Oceânica Alberto Romano. Elle a beaucoup de succès auprès des enfants car c’est plus sécurisé de nager dans ce type d’environnement qu’en pleine mer !

Les meilleures plages de Cascais, considérées comme les plus belles, sont plus excentrées et il est préférable de disposer d’une voiture pour les rejoindre car les bus ne sont pas toujours très fréquents.
Il y a notamment la Praia do Guincho, sur la côte ouest du Portugal : elle s’ouvre pleinement sur l’immensité de l’Atlantique, avec des vagues fortes qui séduisent les surfeurs expérimentés (à l’inverse, il n’est pas conseillé d’y aller avec des enfants). Les bus M02, M05, M15 et M43 du réseau de bus locaux permettent de s’y rendre.
La plage est bien aménagée, avec des bars (le très réputé Bar do Guincho !), une école de surf (l’école Moana de Cascais) où vous pouvez à la fois prendre des cours et louer du matériel en bénéficiant de tous les conseils de sécurité indispensables quand on ne connaît pas un spot de surf.

Il existe aussi un hôtel de toute beauté, l’hôtel Fortaleza do Guincho, face à l’océan.
Si vous préférez la marche à la baignade, on peut marcher tout le long de la côte, en descendant par exemple du train à Estoril et en marchant jusqu’à Cascais. À titre personnel, j’avoue ne pas avoir trouvé beaucoup de charme à cette partie de la côte par rapport à d’autres zones un peu plus excentrées et sauvages comme le Cabo Espichel au sud de Lisbonne.
Le parc Marechal Carmona
À 15 minutes à pied de la gare de Cascais se situe un grand jardin public. A priori, rien de passionnant et ce n’est pas forcément le genre d’endroit vers lequel on se tourne quand on visite une ville à l’étranger.
Pourtant, c’est l’un des petits joyaux cachés de Cascais, aussi bien pour son ambiance que pour les nombreuses activités que l’on peut faire.
D’un côté, on découvre le musée des Beaux-Arts de Cascais avec une petite chapelle adjacente en azulejos, la Capela de São Sebastião.
Ce musée Condes de Castro Guimarães est le plus populaire. Il a été construit dans un bâtiment édifié à la fin du XIXe siècle par un aristocrate fortuné, Jorge O’Neill. Le comte de Castro Guimarães en a ensuite hérité et l’a légué à la ville en 1924 avec pour mission de le transformer en musée, ce que Cascais a fait en l’ouvrant au public dès 1931.

Au programme, meubles et peintures qui témoignent de l’histoire portugaise, le tout à des tarifs très abordables (retrouvez les horaires et tarifs du musée Condes de Castro Guimarães en ligne).
La chapelle voisine a été construite en 1594, très typique de l’architecture locale avec tous les azulejos.

On peut ensuite explorer le reste du parc Marechal Carmona. Des coqs, des poules et des poussins se promènent en liberté sur place, sans oublier des paons…
Un véritable régal pour les enfants, qui peuvent également nourrir les canards dans un plan d’eau enjambé par un joli pont.
Il y a des sculptures, des transats, des animations régulières (quand j’y suis allée, un grand karaoké en plein air était organisé et des musiciens jouaient), on trouve des toilettes publiques, un restaurant, des aires de jeux pour enfants, des tables de pique-nique, une jolie roseraie…
Le parc comporte aussi une partie un peu plus sauvage avec des chemins plus broussailleux, un petit ruisseau qui était asséché lors de ma visite, une sorte de gros monticule caillouteux au sommet duquel on peut monter par un chemin. En revenant au point de départ, on finit par tomber sur un petit bout de plage…
Le tout est très sympa pour se détendre ou pique-niquer au soleil !
Le phare de Santa Marta et son musée
Dans les années 1640, un fort a été construit à Cascais, dans la lignée de nombreuses constructions similaires visant à protéger l’embouchure du Tage. L’idée était de détecter aussi tôt que possible d’éventuels ennemis afin de protéger la baie de Cascais.
Peu à peu, le fort a perdu son rôle militaire mais comme il était extrêmement bien placé, on a décidé d’y construire un phare en 1867 pour assurer la sécurité et le guidage des bateaux dans la baie. Il vient compléter le phare de Guia, situé un peu plus à l’ouest.
Le phare de Santa Marta est particulièrement joli et reconnaissable à ses couleurs bleues et blanches. Beaucoup de gens se baignent en contrebas dans les eaux claires et calmes. Ils installent leur serviette sur les rochers.
Cette zone communique d’ailleurs avec la mini-plage du parc Marechal Carmona.
Depuis 2007, Santa Marta abrite un musée, dont le contenu a été fourni par la marine portugaise. Il s’intéresse à l’histoire des phares au Portugal et à de celui-ci en particulier. Vous pouvez retrouver les horaires du Farol Museu de Santa Marta en ligne.
La Boca do Inferno
Je ne vous cache pas qu’en préparant mon voyage, j’avais été profondément intriguée par cet endroit dont le nom signifie « Bouche de l’Enfer ». Voilà qui paraissait fascinant !
Il s’agit en fait d’une ouverture dans la paroi rocheuse de la falaise, où l’eau s’engouffre bruyamment en formant des tourbillons. On y accède à pied en marchant un quart d’heure depuis le centre-ville de Cascais. Sur cette portion de la côte, il n’y a pas de plage mais des rochers aux formes très irrégulières et aiguisées, avec un côté un peu sauvage.
De très beaux hôtels bordent l’océan, en particulier l’extraordinaire palace Grande Real Villa Itália Hotel & Spa…


Quand on arrive à proximité de la Boca do Inferno, changement d’atmosphère. On sent que toute la zone a été aménagée pour le tourisme de masse : il y a des paillottes-restaurants (le Mar do Inferno est très réputé pour les fruits de mer), des marchands de glace, des boutiques de souvenirs et, plus tristement, des musiciens qui font la manche… Ce lieu d’intérêt est sur le trajet de nombreux tour-operators et ça se ressent !
Quant à la Boca do Inferno elle-même, j’avoue que ça a été pour moi une grosse déception. Ce n’est rien de plus qu’un trou rocheux où l’eau vient s’engouffrer, ça ne casse pas trois pattes à un canard, surtout si vous connaissez les belles côtes bretonnes, les côtes anglaises ou des zones un peu plus sauvages du Portugal !

Si vous passez par là, rien ne vous empêche de faire le détour mais si vous n’avez pas le temps, je vous rassure, vous ne ratez rien d’essentiel ;)
La citadelle de Cascais
Je me suis consolée en arpentant les abords de la citadelle de Cascais ! Comme je vous le disais au sujet du phare, de nombreuses constructions ont été effectuées il y a quelques siècles pour protéger l’embouchure du Tage et les villes des environs, notamment Lisbonne.
Parmi elles figure la citadelle de Cascais, bâtie entre le 15e et le 17e siècle. On a d’abord construit une première partie dans un but purement militaire, la Torre de Santo António de Cascais, dans les mêmes temps que la Tour de Belém à Lisbonne. On l’a ensuite renforcée par une seconde construction, le fort de Nossa Senhora da Luz de Cascais. En 1755, lors du gigantesque tremblement de terre qui a dévasté Lisbonne, la citadelle de Cascais a elle aussi profondément souffert.
Elle a été reprise en main par la famille royale qui y a fait construire une résidence d’été… ou plutôt, de rentrée, puisqu’elle s’y rendait traditionnellement durant l’arrière-saison (septembre-octobre).

Aujourd’hui, on peut visiter une partie de la citadelle de Cascais (horaires ici pour le fort de Nossa Senhora da Luz, ici pour le Palácio da Cidadela).
Les remparts abritent aussi un hôtel cinq étoiles, le Pestana Cidadela Cascais (tarifs et photos ici) pour une expérience inhabituelle : loger au cœur d’un fort !
On trouve à l’intérieur de la forteresse de nombreuses œuvres d’art, notamment au sein du Cidadela Arts District.
D’autres activités à Cascais
Il existe beaucoup d’autres activités qui ciblent souvent une clientèle aisée. Le golf d’Oitavos Dunes (18 trous) et le casino (situé sur la commune voisine d’Estoril) en font partie !
De nombreuses boutiques permettent de faire du shopping à Cascais. Si vous disposez d’une voiture, il existe même un centre commercial très réputé mais excentré, Cascais Shopping.
Pour prendre l’air, vous pouvez opter pour une croisière au coucher du soleil avec boisson gratuite : vous profiterez de la vue sur la côte et sur les montagnes de Sintra à l’arrière-plan.
Que faire autour de Cascais ?
Certains choisissent de passer seulement la journée à Cascais… mais l’on peut tout à fait y faire un séjour plus long, sans pour autant se sentir bridé ! La ville permet au contraire de visiter facilement la région, soit en voiture, soit par le train ou les bus.
Aller à Sintra depuis Cascais
Il ne faut que 20 minutes en voiture pour rejoindre Sintra depuis Cascais, en empruntant l’A16. On peut également aller à Sintra en bus, en empruntant la ligne 417 (la plus rapide, qui effectue le trajet en moins d’une demi-heure) ou la ligne 403, qui passe par le parc naturel en mettant deux fois plus de temps mais avec un trajet plus joli. Vous pouvez retrouver les horaires de ces lignes de bus sur le site de Scotturb.
Le train n’est pas pratique pour effectuer cette liaison car il vous obligea retourner à Lisbonne pour repartir ensuite à Sintra.
Sintra est une ville riche en palais à visiter. Il est impossible de tout voir en une journée, concentrez-vous sur 2 à 3 palais au maximum et prévoyez une nuit sur place si vous voulez en voir plus. Je vous donne plein de conseils ici pour préparer votre visite de Sintra, ainsi que des bonnes adresses.

Cabo da Roca depuis Cascais
Cabo da Roca est tout simplement le point le plus occidental d’Europe et à ce titre, il s’agit d’un lieu d’intérêt incontournable au Portugal ! Mais au-delà de sa situation géographique particulière, c’est surtout un lieu dont les falaises majestueuses méritent le détour.
On peut y accéder facilement en voiture en empruntant la route N247 qui traverse le parc naturel (comptez une petite demi-heure de trajet depuis Cascais), ou en bus (ligne 403 de Scotturb). Certains taxis proposent aussi des forfaits aller-retour au départ de Cascais, incluant 30 minutes d’attente à Cabo da Roca.
Comme le Cabo Espichel au sud de Lisbonne, le Cabo da Roca est un endroit qui se visite rapidement, avec un phare et de très beaux points de vue sur l’océan. Le vent et le froid dissuadent souvent les visiteurs d’y rester plus d’une heure, le temps de voir le phare et le célèbre rocher… et éventuellement de faire un tour dans la boutique de souvenirs (plutôt chère !).
Par ailleurs, l’endroit est un peu victime de son succès, avec beaucoup de cars de touristes et toutes les conséquences négatives qui vont avec (des pickpockets notamment, soyez prudents !).

Azenhas do Mar depuis Cascais
Si vous allez à Cabo da Roca, cela vaut la peine de pousser la visite jusqu’au petit village d’Azenhas do Mar. Il n’y a pas grand-chose à faire sur place mais le village lui-même est extrêmement joli, de quoi y faire étape pour déjeuner dans un restaurant comme l’Água e Sal. Mieux vaut avoir une voiture pour s’y rendre.

Lisbonne depuis Cascais
Bien entendu, il est aussi très facile de rejoindre Lisbonne depuis Cascais. Le billet de train coûte moins de 3€ pour 40 minutes de trajet, avec en moyenne un train toutes les 20 minutes en journée.
Ça reste donc très bon marché si vous optez pour un séjour à Cascais tout en profitant de l’occasion pour visiter Lisbonne. Vous pouvez sans problème y partir le matin, effectuer quelques visites et rentrer plus tard dans la journée. Ou encore passer la journée à Cascais et aller dîner et sortir à Lisbonne (il y a souvent des trains jusqu’à 1h30 du matin… et les premiers trains de l’aube partent vers 5h30, avis aux fêtards !).

Bonnes adresses à Cascais : hôtels et restaurants
On mange très bien sur place, je vous conseille notamment les restaurants Hífen et Dom Pedro I. Vous pouvez aussi vous régaler chez A Nova Estrela (205b Rua do Poço Novo), Terroso (n°17 de la même rue), prendre du bon temps au bar à tapas « Taberna Clandestina » (35 rua Afonso Sanches) ou profiter de la vue au Restaurante Baia (Passeio de Dom Luis I)
Il est préférable de réserver. La ville regorge de bonnes adresses food !
Ne manquez pas aussi les glaces de Santini (28F avenida Valbom), parfaites au retour de la plage !
Si vous voulez loger sur place, il y a de bons hôtels à Cascais, j’en ai cité quelques-uns au fil de l’article. Pour un bon rapport qualité-prix en plein centre-ville, jetez un œil au Cascais City & Beach Hotel. Plus excentré mais souvent à des prix corrects, le Eurostars Cascais.
Si vous recherchez une expérience plus luxueuse, jetez un œil au Albatroz Hotel, à quelques minutes à pied du centre de Cascais | Grande Real Villa Itália, avec son spa | Pestana Cidadela, au cœur de la citadelle.
Comment aller à Cascais depuis Lisbonne ?
Aller à Cascais depuis Lisbonne est un jeu d’enfant ! Si vous y passez les vacances, vous pouvez rejoindre la ville par les transports depuis l’aéroport de Lisbonne : montez dans le métro ligne rouge à la station Aeroporto, descendez à Alameda et prenez la ligne verte du métro jusqu’à la station Cais do Sodre.
Ensuite, il y a des trains toutes les 20 minutes en journée, vous pouvez consulter les horaires sur le site Comboios de Portugal en entrant comme point de départ « Lisboa – Cais do Sodre » et comme point d’arrivée « Cascais ».
Si vous avez beaucoup de bagages ou que vous avez peur de vous tromper, vous pouvez aussi réserver un transfert en voiture entre l’aéroport de Lisbonne et Cascais.
Si vous venez juste pour la journée, il vous suffit aussi de prendre le train à Cais do Sodre. Les trains sont très bon marché et ils ont un autre avantage : vous pouvez les emprunter avec votre carte de transport Viva Viagem (la carte de transports de Lisbonne), si elle est suffisamment chargée vous n’avez donc pas besoin d’acheter un billet, il faut simplement valider sa carte sur les bornes disponibles dans les gares.

Combien de temps rester à Cascais ?
Cascais, comme je vous le disais, est très bien desservie par les transports en commun. Le train, en centre ville, est aussi facile à prendre que n’importe quel bus, le trajet vers Lisbonne coûte presque le même prix qu’un ticket de bus… si bien que l’on peut vraiment profiter d’une grande flexibilité quand on se rend sur place.
Opter pour un séjour à Cascais peut être une excellente idée lorsque l’on souhaite des vacances équilibrées entre détente et visites : on peut aisément se rendre à Lisbonne ou à Sintra… tout en ayant des plages à deux pas. De ce fait, laissez-vous surtout guider par votre curiosité et votre intérêt pour la région !
A l’inverse, si vous n’êtes pas très fan de plage, vous pouvez séjourner à Lisbonne et faire un saut à Cascais sur une journée ou une demi-journée, le temps de découvrir la ville ! Une journée permet de visiter sans précipitation les principaux lieux d’intérêt de la ville.
Pas mal d’agences de voyage proposent un arrêt à Cascais dans le cadre d’une excursion en petit groupe incluant la visite guidée de Sintra et Cabo do Roca : pour ma part, je trouve le planning de ces excursions trop serré… mais si vous passez juste un week-end dans la région de Lisbonne, ça peut être un bon moyen d’avoir un avant-goût de plusieurs villes pour y revenir ensuite plus longuement.
J’espère en tout cas que vous inscrirez Cascais sur votre itinéraire voyage au Portugal car c’est une jolie ville qui vaut bien un détour ! Retrouvez aussi sur le blog des articles sur Lisbonne et ses curiosités.
Hello ! Je suis en congé maternité jusqu'à l'été 2023. Pendant cette période, les commentaires sont fermés.
Merci pour cet article très complet qui confirme mon idée de loger à cascais pour découvrir la ŕegion en famille !
Hello Noémie, la ville est très agréable donc j’espère que ça vous plaira !
Bonjour Marlène,
Je vous découvre et je vous remercie pour votre blog qui est très très intéressant. Jeudi prochain, nous allons à Lisbonne dans l’espoir de découvrir de très belles choses.
Très belle journée.
Carlitos
Merci beaucoup ! Très bon voyage là-bas :)
Olá!
Après avoir lu ton article, ça me donne envie d’y aller faire un tour ce weekend. Pourtant, j’habite Lisbonne mais je n’y vais pas souvent ;-)
Ah ça, c’est une réalité pour beaucoup de gens : on visite rarement sa propre ville ou sa propre région comme si l’on était un touriste ! Le fait que tout soit à portée de main nous pousse peut-être à une certaine procrastination (« bah, après tout, c’est à côté, je peux y aller quand je veux ! »).