Aujourd’hui, je vous emmène au fond des mines de sel de Wieliczka, près de Cracovie en Pologne. Rien qu’en lisant le nom, on sent déjà le doux parfum d’une grande expédition… et ce lieu étonnant a tenu toutes ses promesses : impressionnant, grandiose, surprenant… Pas assez d’adjectifs pour décrire ce qui se passe sous terre !
Comment se déroule la visite des mines de sel de Wieliczka ? Comment réserver des billets ? Que voit-on sur place ? Je vais vous expliquer tout ça dans cet article et vous montrer plein de photos car c’est un paradis pour les photographes !
En route pour la visite des mines de sel de Wieliczka
Wieliczka est entièrement tournée vers ce lieu, qui accueille chaque année plus d’un million de personnes alors que la ville compte à peine plus de 20 000 habitants ! Il n’y a d’ailleurs presque rien à y visiter…

La mine existe depuis très longtemps, les historiens ont même retrouvé des documents datant de 1125 environ et parlant de « Magnum Sal » en latin (« Le Grand Sel », qui se traduit par « Wielka Sól » en polonais… qui a donné son nom à la ville). Une longue histoire, donc !
Il n’est pas surprenant que l’endroit soit aménagé à la perfection pour accueillir les visiteurs. À peine sorti du parking, vous remontez une rue bordée de petits chalets qui vendent des souvenirs de la mine. On en trouve littéralement partout dans la région de Cracovie, y compris à l’aéroport !
Vous arrivez ensuite devant le bâtiment de la mine elle-même… ou plutôt, l’un des bâtiments de la mine car, comme va nous l’expliquer Élisabeth, notre guide, l’endroit est littéralement gigantesque ! J’avoue qu’au départ, en voyant l’entrée avec ses tonnelles et une foule de visiteurs, j’ai eu un peu peur de tomber au milieu d’un attrape-touristes…
Néanmoins, un petit monument à l’entrée rappelle aussi que les mines de sel de Wieliczka sont classées au patrimoine mondial de l’Unesco, ce qui devrait tout de même offrir quelques belles images !
Descendre dans les mines de sel de Wieliczka
Notre guide nous dit en souriant que la première partie de la visite est la moins intéressante puisqu’il s’agit de descendre un interminable escalier de 360 marches qui s’enfonce vers le centre de la terre. L’équivalent du premier étage de la Tour Eiffel, à peu de choses près.
En réalité, c’est assez fascinant car à mesure que l’on descend dans les profondeurs de la terre sur un escalier en bois, on prend la pleine mesure de la taille gigantesque de ces mines de sel. Élisabeth nous explique que le circuit à l’intérieur de la mine ne couvre que 2 % de la mine entière.
Au début, la population exploitait simplement le gisement de sel en surface mais rapidement, les ressources du sol se sont épuisées et on a donc commencé à creuser des puits pour descendre de plus en plus profondément dans le sous-sol à la recherche du sel. La mine a fonctionné jusqu’en 1996… date à laquelle on a réalisé qu’il était plus rentable d’en faire une attraction touristique que de l’utiliser pour la production de sel.
Notre escalier interminable conduit vers le premier niveau, situé à 64 mètres sous le niveau de la terre (c’est le « niveau Bono »). Ici, l’atmosphère est très particulière : il fait environ 14°, les murs sont assez sombres et ne ressemblent pas du tout au sel tel qu’on peut l’imaginer sur une table, l’air semble très pur.
Élisabeth nous explique que l’atmosphère est riche en calcium, en magnésium et en potassium et que selon une légende, ça prolongerait l’espérance de vie !
Nous découvrons les énormes dispositifs qui permettaient de soulever le sel, les hommes qui travaillaient ici tournaient en rond toute la journée (au sens propre !) pour actionner les cordages qui remontaient les barils de sel.
Certains couloirs sont peints en blanc, un stratagème visuel qui permettait de bien refléter la lumière pour que les ouvriers travaillent dans de meilleures conditions étant donné qu’ils passaient leur temps loin du monde extérieur et du soleil. Ça restait néanmoins une activité extrêmement physique et difficile : pour actionner les roues et remonter le sel, il fallait que quatre hommes travaillent conjointement… et ils s’attelaient à cette tâche pendant 8 à 12 heures par jour.
La salle Nicolas Copernic
Nos pas nous conduisent dans une première salle, la Chambre Nicolas Copernic.
L’itinéraire touristique classique dans la mine inclut la visite d’une vingtaine de chambres, sur environ 3 km… mais on a l’impression de marcher beaucoup plus car la visite des mines de sel de Wieliczka s’échelonne sur trois niveaux (il y en a neuf au total dans la mine !) donc on ne cesse de descendre des escaliers, 800 marches au total sur les 2h30 à 3h00 de visite !
Le circuit ne descend « qu’à » 135 mètres de profondeur (ce qui est déjà beaucoup, je vous l’accorde) alors que la mine atteint en réalité 327 m de fond !
Une toute petite idée des proportions hors norme de l’endroit : on pourrait y faire rentrer la Tour Eiffel en entier ! Voilà aussi pourquoi il est préférable de le visiter bien accompagné !

La salle dédiée à Copernic a été créée dans du sel vert autour de 1785. Copernic (formé à l’université de Cracovie) aurait fait partie en son temps des quelques invités autorisés à visiter la mine de sel, un privilège rare. C’est pour lui rendre hommage, à l’occasion du 500e anniversaire de sa naissance, que le sculpteur Wladyslaw Hapek a créé cette sculpture en 1973.
C’est l’une des seules sculptures de la mine de sel ayant été créée par un professionnel car la plupart des sculptures que l’on découvre au fil de la visite ont été imaginées par les ouvriers eux-mêmes.
La légende de Sainte Kinga
C’est par exemple le cas dans la Chambre Janowice, qui raconte la légende entourant la création des mines de sel de Wieliczka.
Au 13e siècle, un jeune prince polonais tomba fou amoureux d’une princesse hongroise, Kinga. Le roi et père de la jeune fille lui demanda ce qu’elle souhaitait recevoir comme cadeau pour son mariage, un cadeau qu’elle emporterait avec elle pour son installation à Cracovie. La jeune princesse demanda alors un cadeau dont le peuple pourrait trouver l’utilité : du sel.
Son père lui fit alors cadeau d’une grande mine de sel en Hongrie… mais que pouvait-elle bien en faire ?
La jeune princesse eut alors l’idée de jeter sa bague de fiançailles à l’intérieur de cette mine puis elle partit avec un groupe de mineurs hongrois à Cracovie. À leur arrivée sur place, elle leur ordonna aussitôt de se mettre à la recherche de sel… et soudain, en fouillant le sol, ils découvrirent un énorme bloc de sel.
En le brisant, ils eurent la surprise de retrouver à l’intérieur la bague de fiançailles de la jeune femme… et c’est ainsi que le sel est devenu (du moins, selon la légende !) l’activité principale de Wieliczka.

Le travail de la mine : des hommes et des chevaux
Les mines de sel étaient un lieu dangereux, comme la plupart de ces entreprises souterraines. Le méthane s’accumulait dans les galeries et la menace d’une explosion était toujours bien présente.
Alors il y avait des professionnels, surnommés les Pénitents, qui approchaient de longues torches des parois pour brûler le méthane. Ces postes extrêmement dangereux étaient aussi extrêmement bien payés, si bien qu’il y avait beaucoup de volontaires pour effectuer le travail malgré les risques qu’il comportait.

Au fil du trajet, on découvre d’autres chambres. La salle Sielec reconstitue le travail des mineurs : on voit les chariots, les traces de leur passage incrustées dans le sol…
Jusqu’en 1925, les chevaux aidaient les hommes à transporter le sel. On les descendait dans la mine avec une sangle sous le corps, ce qui les effrayait beaucoup, si bien que les hommes ont fini par créer des cages dédiées pour les faire descendre. Il y avait aussi de vraies écuries dans la mine, converties aujourd’hui en chambres pour accueillir des visiteurs. Les chevaux ont par la suite été remplacés par des systèmes électriques.

Certaines galeries de la mine ont un sol en pierre de sel spécialement imaginé pour les chevaux : quand ceux-ci travaillaient, ils transpiraient… et perdaient beaucoup de sel. Lécher une pierre à sel permettait donc au cheval de satisfaire ses besoins en sel.

Les visiteurs ont aussi le droit de lécher les murs à certains endroits mais évidemment, pour des raisons d’hygiène, personne ne le fait ^^
Une immense salle est dédiée au roi Casimir III le Grand (seul Roi de Pologne à s’appeler « Le Grand ») : à son époque, les mines de Wieliczka rapportaient 1/3 des revenus de l’Etat. La sculpture du Roi qui se trouve dans la pièce a été réalisée par un mineur…

Nous continuons notre descente dans les profondeurs de la mine en découvrant tout l’univers étonnant de l’endroit… et notamment des escaliers sculptés de toutes pièces dans le sel.

La mine de sel de Wieliczka, un lieu tourné vers Dieu
Les salles sont grandioses, surtout quand on descend dans la partie plus profonde de la mine. En Pologne, les gens sont très croyants… et on retrouve donc sans surprise plusieurs chapelles à l’intérieur même de la mine : des plafonds en bois peint, des sculptures du Christ.

Certaines chapelles, comme la Chapelle Sainte Croix ci-dessous, étaient itinérantes : les ouvriers pouvaient déplacer les décorations dans une autre salle plus proche de leur lieu de travail…
Mais ce n’est rien à côté de la plus grande chapelle des mines de Wieliczka : la chapelle de Sainte Kinga (Sainte Cunégonde). Juste avant d’y arriver, nous croisons la route d’un monsieur installé là. A ce stade de la visite, si vous souhaitez continuer à faire des photos, il faut payer un pass photo (qui coûtait 10 PLN = environ 2.5 euros). C’est fréquent dans les monuments polonais mais pensez à prévoir un peu d’argent liquide si vous voulez éviter les déceptions !
On descend ensuite un escalier majestueux pour rejoindre le fond de cette chapelle qui s’étend sur 54m de long, 18m de large et 12m de hauteur sous plafond… le tout à 101 mètres sous terre !
Ici, TOUT est en sel et impossible de ne pas être admiratif du travail incroyable réalisé : un sol sculpté dans le sel, des lustres en cristaux de sel, des bas-reliefs en sel représentant des scènes religieuses (la Cène notamment), un autel entièrement en sel avec Sainte Kinga, Saint-Joseph et Saint-Clément… Une statue de sel représentant l’enfant du pays, le pape Jean-Paul II…
Le lieu est encore utilisé pour des messes mais aussi pour des concerts car il paraît que son acoustique est incroyable.


Lacs souterrains et salles grandioses
La dernière partie de la visite des mines de sel de Wieliczka est, de mon propre avis, celle qui laisse les plus beaux souvenirs. Il y a d’abord ces lacs souterrains où les couleurs se mélangent…

Ici par exemple, c’est la chambre de Weimar, dédiée à Goethe qui a fait partie des invités de la mine.

Il y a des salles d’une hauteur époustouflante, avec une architecture en bois et en sel incroyable. La chambre Michalowice, avec ses 35 mètres de hauteur, est impressionnante.

Il y a aussi des rivières souterraines artificielles, comme dans la salle Jozef Pilsudski, deux excavations reliées par un tunnel inondé. Il paraît qu’à une époque, on pouvait faire une balade en bateau sur cette rivière improvisée. Ce n’est plus possible aujourd’hui compte tenu du monde qui fréquente la mine.

Ca n’en reste pas moins une visite mémorable, le lieu est assez fabuleux et réserve de très belles images ! Je vous recommande vivement d’y aller lors de votre séjour à Cracovie.
La remontée à la surface est assez hors norme : on monte dans un « ascenseur » typique de ce qu’utilisaient les mineurs. C’est en ferraille, nous sommes 6 et déjà un peu serrés (ces cages en fer peuvent contenir jusqu’à 9 personnes) et en s’ébranlant pour commencer sa montée, la cage tremble de partout. Ca dure 45 secondes mais c’est un bon moyen de parachever l’expérience !
Infos pratiques sur la visite des mines de sel de Wieliczka
Comment réserver des billets ?
Il faut savoir que quoi qu’il arrive, on ne peut pas visiter la mine de sel sans guide car l’endroit est littéralement immense, un véritable labyrinthe de couloirs souterrains dans lequel il serait très facile de se perdre à tout jamais !
Alors comme la visite guidée est obligatoire, autant faire appel à une agence de voyage, qui se charge aussi de vous conduire là-bas depuis le centre de Cracovie. Même si la ville est très facile d’accès par le train en 20 à 30 minutes, ça permet de s’épargner un peu de logistique ! Par ailleurs, la ville ne vaut pas vraiment le détour en-dehors de la mine donc il n’y a pas de raison de s’y attarder outre mesure au-delà de la visite.
Quelle agence choisir ? Pour une visite en français, je vous conseille de regarder les offres de Legendary Krakow ici ou de Discover Cracow ici. Ces deux agences sont extrêmement sérieuses et proposent plusieurs circuits au choix, en petit groupe ou en gros groupe.
Si vous passez très peu de temps en Pologne, sachez aussi qu’il existe des journées associant la visite guidée de Wielicza et celle du camp d’Auschwitz-Birkenau, comme cette excursion. C’est un parcours très dense et je sais que pour certaines personnes, il n’est pas facile de passer de l’un à l’autre dans une même journée, à vous d’en juger !
Si vous souhaitez visiter Auschwitz à un autre moment, je vous donne des conseils dans cet article pour organiser une visite du camp.
Je vous conseille en tout cas de réserver vos billets à l’avance. Même si le Covid a fait baisser la fréquentation, certains horaires peuvent être indisponibles en dernière minute.
Le prix reste assez abordable, souvent autour de 40-45€ pour une demi-journée de visite avec guide + le transport. Comme je l’ai mentionné dans l’article, il faudra prévoir un peu de liquide en plus pour avoir le droit de faire des photos.
Durée et accessibilité du circuit
La visite dure au total entre 2h et 3h selon le guide, les anecdotes racontées, le nombre de personnes dans le groupe…
Une partie du circuit touristique de la mine est accessible en fauteuil roulant… et il y a des parties dédiées aux enfants, avec des petites animations qui leur sont spécialement destinées comme ici :

Installations à disposition
A la fin de la visite guidée, la boutique est installée dans la chambre Stanislaw Staszic et ses 50 mètres de hauteur sous plafond. On peut acheter beaucoup de souvenirs de la mine : des lampes de sel, du sel de table, des produits de beauté à base de sel, des cartes postales… J’ai ramené un gommage à base de sel que j’ai trouvé vraiment agréable à utiliser et du gros sel, qui n’a pas un goût particulièrement « distinctif ».
Il existe d’ailleurs une boutique en ligne.
On trouve aussi un restaurant au fond de la mine.
Il y a des toilettes sur le parcours, au bout de 40 minutes et de 90 minutes de visite, ainsi qu’à la fin du circuit.
Visites spéciales
Il y a d’autres façons de visiter les mines de sel de Wieliczka en dehors du circuit que j’ai évoqué dans l’article : vous pouvez vivre une « vraie » expérience de mineur en revêtant un équipement de mineur et en allant vous familiariser avec le travail de la mine et les traditions minières. Ce circuit, le « Parcours minier », est assez physique et dure 3 heures. Il n’a rien en commun avec le circuit décrit dans l’article (vous ne visitez pas du tout la même partie de la mine).
Plus récemment, la mine a ouvert l’accès à la tour de graduation qui exige de réserver un billet spécifique. La visite ne dure que 30 minutes, vous pouvez en savoir plus ici.
On peut même suivre une sorte de cure souterraine, l’air de la mine de sel étant réputé très bénéfique pour les affections pulmonaires : la mine peut accueillir les gens à la journée… et on peut même dormir sous terre dans une sorte d’hôtel si on souhaite vivre une expérience qui sort de l’ordinaire.
La mine de sel joue la carte du tourisme jusqu’au bout puisqu’on peut aussi y organiser des séminaires, des événements privés et même des mariages !
Avant d’achever cet article, un dernier conseil… qui est de vous couvrir pour aller sur place car il ne fait pas très chaud en bas (14-16°C environ).
C’est un lieu qui, à mon sens, vaut le détour quand on fait un séjour à Cracovie… car il faut avouer que ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de voir de près une mine de sel ! Si vous souhaitez préparer votre voyage là-bas, je vous conseille la lecture de mon guide sur la ville, qui vous donnera plein d’informations utiles pour en profiter !
Hello ! Je suis en congé maternité jusqu'à l'été 2023. Pendant cette période, les commentaires sont fermés.
Merci
et bravo pour votre blog
je suis jusqu’à la fin de semaine prochaine à Cracovie
le contenu clair détaillé et bien étayé me conforte dans le choix de visiter ce site
merci également pour toutes les astuces pour optimiser les déplacements
comme je constate que vous donnez d’excellents conseils sur d’autres pays je vous consulterai avec plaisir
bon vent pour vos futurs projets
Bonjour, merci pour le message et bon séjour en Pologne :)
Bonjour,
Je serai à Cracovie fin février et nous comptons visiter les mines de sel. J’ai pu lire que faire des photos à l’intérieur de la mine était payant. Pouvez vous me dire ce qu’il en est ?
En tout cas; excellent site qui me permet d’organiser mon séjour au mieux.
Bonjour, c’est écrit dans l’article ;)
bonjour,
tout d’abord un grand bravo pour votre blog, ma BIBLE pour préparer mon voyage en Pologne: incroyable de précision, de pertinence, de clarté… un vrai bonheur!
je pars à cracovie à la fin du mois, je viens d’acheter la Krakow Card. c’est indiqué qu’elle couvre le transport pour les mines de sel de Wieliczka. me conseillez vous de ne prendre que la visite guidée du lieu, ou de faire comme vous, c’est a dire prendre le tout (transport et visite)? merci de votre réponse
Bonjour Morgane, c’est un choix assez personnel. Disons qu’il n’y a pas d’intérêt particulier à prendre les transports car en soi, en-dehors des mines de sel, Wieliczka n’a pas forcément un grand attrait touristique. Ça fait économiser quelques euros, sans nul doute, d’organiser soi-même le déplacement… donc à vous de voir si ça en vaut la peine.
Aller de Cracovie à Wieliczka par ses propres moyens demande environ une demi-heure de trajet. Dans l’idéal il faut trouver un bus qui s’arrête à la station Wieliczka Warzelnia, elle est à 1 minute à pied de la mine de sel.
Bonjour Marlène
Merci et bravo pour ce descriptif des mines de sel qui me fait une bonne piqûre de rappel de ma visite effectuée au mois de juin et qui permet d’alimenter mon album photo de détail que je n’avais pas retenu.
Bonjour Christiane, merci pour le message, j’ai adoré cette visite, le lieu lui-même est superbe et c’est aussi le souvenir d’un métier qui disparaît de plus en plus…
Merci Marlène pour ce beau commentaire. Venons de visiter la mine. Magnifique. Je collectionne les cartes postales. Je n’ai vraiment pas fait attention à la sortie de la mine car très impressionnée par toute cette splendeur. Donc j’ai raté mon achat de cartes. Vous serait il possible de me dire comment m’en procurer ? Merci par avance.
Hello Eve, comme c’est un lieu touristique on trouve sûrement des cartes de Wieliczka dans la plupart des boutiques de souvenirs de Cracovie et même à l’aéroport à mon sens !
Bonjour,
Merci pour toutes les infos de votre séjour à cracovie.celà me permettra de préparer mon voyage au mois de septembre.Je une petite question à laquelle je ne trouve pas de réponse.Comment faire pour réserver des entrées aux mines de sel.Merci beaucoup
Bonjour Frédéric, on peut passer par une agence de voyage qui assure le transport depuis Cracovie (cette visite guidée par exemple) ou acheter juste un billet ici (sans transport, il faut donc se rendre à Wieliczka par ses propres moyens, sachant que la visite de la mine elle-même est quoi qu’il arrive une visite guidée pour des raisons de sécurité).
Est-ce que les marches en bois sont glissantes de même que le sol. De pus dans les escaliers est-ce qu’il y a des rampes pour se tenir. Est-ce qu’il y a un poids limite pour prendre l’ascenseur.
Bonjour Marcelle, je n’ai pas le souvenir que les marches aient été particulièrement glissantes, il y a des rampes sur la plupart des escaliers. Si vous avez des difficultés à marcher, il existe un circuit spécifique pour les personnes ayant du mal à se déplacer, qui ne comporte pas de marches, mais il faut réserver à l’avance en contactant les mines de sel, et ces circuits ne sont disponibles qu’en anglais et en polonais.
Je ne connais pas les restrictions de poids des ascenseurs mais ils peuvent accueillir 6 à 9 personnes.
Je trouve que c’est très intéressant et bien détaillé avec de jolies photos.Je me languis d’y être pour visiter. Mais faut il réserver pour le jour d’arrivée et aura t on le guide en Français ? Dois je bien prendre le circuit touristique car je réserve pour 5 retraités ? Bravo pour votre site qui est super. J’attends
votre réponse.
Bonjour, le circuit touristique est celui qui me paraît le plus adapté à la majorité des visiteurs (retraités ou pas, d’ailleurs !). Oui, il est préférable de réserver en amont car c’est une excursion très prisée. Si vous prenez une visite guidée comme celle-ci avec prise en charge au départ de Cracovie, vous devez indiquer votre langue au moment de la réservation : souvent, le guide qui assure le transfert depuis Cracovie ne parle pas français lui-même mais possède un document explicatif en français… En revanche, quand vous arrivez à la mine, toutes les personnes sont « réparties » dans des groupes en fonction de la langue parlée.
Le jour où j’ai fait la visite, il y avait des Français dans notre groupe, ils ont rejoint un guide francophone pour la visite. Donc vous devriez bien comprendre ce qui est dit !
Bonjour et merci pour la richesse de ce blog ! Nous devons visiter les mines avec notre bébé de 16 mois très bientôt. Je suis claustro et je me demande si je peux quand même faire cette visite ou si les lieux sont vraiment étriqués ? Et le bébé sera porté en siège ventral par son papa, c’est faisable selon vous ?
Merci et à très vite
Hello Marjorie, je ne peux pas du tout répondre car je ne suis pas dans votre peau ;) Je ne connais pas votre degré de claustrophobie mais non, sur le principe, aller à 135 mètres sous terre quand on est claustrophobe et devoir remonter par un ascenseur très étroit n’est pas une bonne idée ! Et pour un bébé, ça me paraît long de passer plusieurs heures dans ce genre d’endroit sans hurler et sans perturber la visite…
Bonjour, et tout d’abord bravo pour ton site. Je prépare mon voyage, au mois de juin, pour Cracovie et j’y trouve vraiment énormément d’info. Très complet et détaillé. J’ai juste besoin d’une info sur l’excursion pour la mine de sel, en passant par le lien que tu donnes, peux tu me dire ou se trouve le départ de l’excursion ? histoire de savoir par rapport à mon hôtel. Merci d’avance et bonne continuation.
Hello, il y a une prise en charge à l’hôtel… ou dans un point de rencontre à proximité quand on ne séjourne pas à l’hôtel :) Au moment de la réservation il faut indiquer où l’on réside.
Bonjour Marlène,
Merci pour toutes ces infos.la visite descente par ascenseur,pénalise du premier étage car il descend directement au 2.
Je ne trouve pas ce que je peux rater.pouvez vous me renseigner?
encore merci pour vos posts.
Edith Cadilhac
Bonjour Edith, je pense que vous allez rater la première partie de ce que je raconte dans l’article… mais je ne sais pas à quel moment vous « rattrapez » l’itinéraire classique, peut-être au niveau de la chapelle Sainte Kinga qui, je le sais, est accessible aux personnes handicapées.
Merci pour ton récit qui explique formidablement bien cette visite incontournable de la banlieue de Cracovie (très touristique). Je suis aller 4 fois à Cracovie et je suis retournée les 4 fois aux Mines de Sel. En plus la visite est de mieux en mieux. Ne pas hésiter à manger dans la salle de restauration à la fin de la visite car on mange polonais pour pas cher. Ça cale bien après 4h sous terre.
Si vous allez en Pologne, passez voir la ville de Wroclaw car très belle ville et pas encore beaucoup de touristes.
Merci pour ton site qui explique très bien.
Merci pour le conseil sur Wroclaw, ça fait plusieurs fois qu’on m’en parle et j’ai clairement envie de retourner en Pologne, un pays superbe où on m’a aussi conseillé Gdansk et Torun…
J’ai beaucoup aimé votre récit de visite. Moi-même je viens de la visiter le 19 mai dernier, avec une guide aussi, et j’ai apprécié en particulier vos photos magnifiques et les commentaires documentés qui les accompagnent. J’ai souri car j’ai pris la même photo vers le bas du premier escalier de descente. J’ai bien aimé aussi votre récit de la remontée en ascenseur. Tout à fait ça ! Nous devions être 10 dedans, heureusement du même groupe, mais c’est vrai, serrés !
Bien cordialement.
Marc, qui a épousé une polonaise, et la Pologne !
Bonjour Marc, merci pour le message très sympa :)