Que faire à Compiègne ? Visite de la ville


Que visiter à Compiègne, petite ville de l’Oise située en bordure d’une forêt domaniale ? Dans cet article, je vous propose une découverte des lieux : le château et ses jardins, les musées, les lieux chargés d’histoire comme le mémorial de l’armistice, au milieu des bois…

Je vous donnerai aussi plein de conseils si vous envisagez une visite ou un week-end sur place : comment y aller, où loger pour être bien placé et profiter des meilleurs hôtels ou encore quels bons restaurants existent sur place…

Où se trouve Compiègne en France ?

Compiègne se situe dans l’Oise (région Hauts-de-France), à environ 80 km au nord-est de Paris, 40 km à l’ouest de Soissons et 60 km à l’est de Beauvais. Avec un peu plus de 40000 habitants, c’est une ville « à taille humaine » bordée par une vaste forêt de 14357 hectares !

Etant aux portes de l’Ile-de-France, il faut à peine plus d’une heure pour s’y rendre depuis la capitale en voiture, ce qui en fait une destination week-end potentielle pour tous les Franciliens en mal de nature. C’est aussi un point de chute sympa pour découvrir les jolies villes des alentours (Noyon, Soissons…).

Compiègne sur une carte, c’est ici :

Vous pouvez retrouver la météo locale ici.

Que visiter à Compiègne ? Musées, visites, lieux d’intérêt

Compiègne, ville royale

Compiègne a connu son heure de gloire au Moyen-Âge, époque où les rois venaient souvent y séjourner. C’était aussi un point de passage pour eux lorsqu’ils se faisaient sacrer à Reims au début de leur règne ! Pour couper le long trajet du retour, on faisait étape à Compiègne.

La ville a gardé pendant plusieurs siècles un lien étroit avec la royauté : par exemple, c’est à côté de Compiègne qu’une très jeune Marie-Antoinette a rejoint le duc de Choiseul, premier ministre de l’époque, avant d’aller épouser Louis XVI. A l’époque, dès que les jeunes filles étaient réglées, on organisait leur mariage et Marie-Antoinette avait seulement 14 ans et demi quand elle avait entrepris ce long voyage vers la France.

Compiègne a gardé des traces de ce lien avec la royauté, comme l’abbaye Sainte-Corneille (rue Saint-Corneille) où Hugues Capet a été nommé Roi. Son histoire est racontée dans un petit musée (musée du cloître Saint-Corneille) dont vous pouvez retrouver les horaires et tarifs en ligne.

Vous croiserez aussi les jolies églises locales, comme Saint-Jacques de Compiègne, église gothique inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO. Elle a été construite à l’époque où Compiègne s’agrandissait de plus en plus. L’abbaye Sainte-Corneille, la seule à être intra-muros à l’époque, ne parvenait plus à faire face à l’afflux de fidèles. A-t-elle accepté pour autant la nouvelle église ? Pas vraiment !

Sainte-Corneille a fait preuve d’une certaine jalousie, d’autant plus grande que Saint-Jacques était considérée comme « église royale », étant voisine du château. Heureusement, par la suite, la situation s’est apaisée et certains rois, comme Louis XV, ont beaucoup investi pour que Saint-Jacques soit une belle église.

L'église Saint-Jacques de Compiègne
L'église Saint-Jacques de Compiègne

Vous pourrez aussi flâner sur les bords de l’Oise, notamment au Parc Songeons où l’on croise une roseraie et des vestiges d’arcades, qui sont tout ce qui reste de l’ancien couvent des Jacobins.

Le château de Compiègne et son parc

Le château de Compiègne est probablement le principal lieu touristique. Le monument actuel dérive d’un château médiéval construit au 14e siècle. Certains rois de France aimaient venir chasser dans la région et s’en servaient comme résidence, réalisant des travaux d’entretien. D’autres ont délaissé les lieux, laissant le monument se dégrader.

C’est Louis XV qui, adorant le château de Compiègne où il passait souvent un ou deux mois en été, a engagé un important chantier de rénovation et d’agrandissement au 18e siècle. Évidemment, à la Révolution, le château a été vidé de tout son mobilier comme bien d’autres édifices. Il faudra attendre un ordre donné par Napoléon Ier en 1807 pour qu’il soit à nouveau repris en main.

Par la suite, c’est Louis-Napoléon Bonaparte qui, devenu empereur, s’y rendait régulièrement, instaurant un rituel qui est entré dans l’histoire : tous les ans, à l’automne, il invitait des « séries » d’invités (souvent 4 séries d’une centaine d’invités) à venir séjourner au château de Compiègne pour chasser et se divertir. L’empereur y restait environ un mois et demi.

Aujourd’hui, le palais abrite un musée très dense, subdivisé en 3 univers :

  • Une partie de la visite permet de découvrir les appartements historiques du château (ceux du Roi et de l’Empereur, ceux de l’Impératrice, du Prince et du roi de Rome, qui a fait partie des invités prestigieux reçus ici) ;
  • Un musée est consacré au Second Empire ;
  • On trouve enfin sur place un musée de la voiture, qui présente une collection de carrosses, vieilles automobiles et autres véhicules anciens.

Sans oublier de beaux jardins !

Adresse du château : Place du Général de Gaulle.
Informations pratiques et horaires d’ouverture ici.

Château de Compiègne

Mémorial de l’internement et de la déportation

C’est un fait souvent méconnu à l’échelle nationale mais pendant la Seconde Guerre Mondiale, en 1940, les nazis ont installé un camp de transit à Compiègne, dans l’ancienne caserne de Royallieu. Seul camp de France à être rattaché directement à l’administration allemande (contrairement à des camps comme Drancy, Beaune-la-Rolande ou Pithiviers), il a servi à emprisonner des gens considérés comme des « ennemis actifs » du régime.

Le camp de Royallieu a été le point de départ de nombreux convois de déportation ayant emmené quelque 40000 personnes vers les camps de concentration et d’extermination. C’est notamment de ce camp qu’est parti le tout premier convoi entre la France et Auschwitz-Birkenau, le 27 mars 1942 : 1112 personnes en faisaient partie ; seules 19 sont revenues après la guerre. Bien d’autres convois ont suivi, vers les camps de Sachsenhausen, Auschwitz-Birkenau, Ravensbrück, Mauthausen, Buchenwald, Dachau ou encore Neuengamme…

Compiègne a créé dans l’ancien camp de Royallieu un très beau musée pour perpétuer la mémoire de ces disparus. On visite les lieux , très bien préservés, tout en découvrant de nombreux témoignages et documents d’époque.

Adresse : 2 bis avenue des Martyrs de la Liberté, 60200 Compiègne.
Retrouvez les informations pratiques sur les horaires et les prix ici.

Le camp de Royallieu pendant la Seconde Guerre Mondiale
Le camp de Royallieu pendant la Seconde Guerre Mondiale

Mémorial et wagon de l’armistice

Autre lieu de mémoire important : le mémorial de l’armistice. A la fin de la Première Guerre Mondiale, Pétain avait installé son QG au château de Compiègne, c’est là qu’il s’était réuni avec des hommes comme Clémenceau, Foch et Poincaré pour échanger sur la stratégie militaire à tenir, alors que la guerre touchait à sa fin et qu’il fallait lutter contre les ultimes attaques allemandes, un peu désespérées, sur le front occidental.

Assez naturellement, c’est aussi à Compiègne, au beau milieu de la forêt à deux pas de Rethondes… et plus précisément dans un wagon, que l’on a signé l’armistice marquant la fin de cette guerre le 11 novembre 1918.

22 ans plus tard, en 1940, un nouvel armistice serait signé le 22 juin 1940 dans le même wagon, dans la même clairière, entre la France et l’Allemagne. Hitler en personne avait décidé de cette « mise en scène » pour humilier les Français en transformant ce qui avait été le « wagon de la victoire » en 1918 en « wagon de la défaite » en 1940. De Gaulle avait jugé cet armistice « déshonorant »… mais on connaît la suite ; même si le renversement de l’Allemagne nazie a pris encore de longues années, la France a pu se relever de cette guerre.

Aujourd’hui, on peut visiter la clairière de Rethondes, qui rend hommage à tous ceux qui ont perdu la vie sur le front tout en racontant dans un musée l’histoire des deux armistices et de leur contexte historique. Le musée abrite un wagon similaire au wagon d’origine (lequel a été détruit).

Adresse : Carrefour de l’Armistice.
Informations pratiques et tarifs sur le site du mémorial de l’Armistice.

Mémorial de l'Armistice à Compiègne

Musée Antoine Vivenel

Le musée Antoine Vivenel est un musée d’art et d’histoire qui, bien que méconnu, mérite la visite ! Il abrite notamment une belle collection sur la Grèce (amphores, etc.) et l’Égypte (momie d’enfant, tête momifiée, etc), sans oublier les arts asiatiques (armure de samouraï, bouddhas…) et l’histoire locale.

Vivenel était un architecte et entrepreneur natif de Compiègne qui, tout au long de sa vie, a collectionné de nombreuses œuvres (plus de 4000) couvrant une longue période de la Préhistoire au 19e siècle. Il a souhaité en faire don, de son vivant, à sa ville natale, afin que celle-ci crée un musée ouvert à tous. Au début, celui-ci était installé au rez-de-chaussée de l’Hôtel de ville, avant de s’établir dans un hôtel particulier dédié.

La collection continue à s’enrichir aujourd’hui, bien que Vivenel soit décédé en 1862, car elle accueille aussi bien des objets découverts lors de fouilles archéologiques dans la région que des dons issus de collections privées.

Adresse : 2 bis rue d’Austerlitz.
Retrouvez les horaires, tarifs et conditions de visite ici.

Musée Antoine Vivenel

Musée de la figurine historique

On y accède grâce au même billet que celui pour le musée Antoine Vivenel, raison de plus d’y aller ! C’est un musée qui reconstitue plein de scènes historiques avec des figurines « à l’ancienne » (beaucoup datent du 18e siècle ou début du 20e siècle). Il y a pas moins de 155000 figurines dans la collection.

Le musée est connu pour son très grand diorama de la bataille de Waterloo.

Il était jusqu’à présent installé sur la place de l’Hôtel de Ville mais doit déménager bientôt au rez-de-chaussée d’un bâtiment de l’ancienne école d’État-Major afin de pouvoir exposer davantage de pièces. Une visite sympa, notamment en famille si vous avez des enfants !

Retrouvez le prix et les horaires ici.

Forêt domaniale de Compiègne

Compiègne possède une magnifique forêt domaniale de plus de 14000 hectares, qui a su séduire en son temps de nombreux rois de France, dont François Ier, Louis XIV, Louis XV et Louis XVI qui y ont fait tracer de nombreuses routes. Plus tard, Napoléon Ier a fait déboiser une large bande de forêt de 4 km de long sur 60m de large, la percée des Beaux-Monts, qui permet d’avoir une très belle perspective sur le château de Compiègne et son parc.

La forêt est particulièrement agréable pour se balader, faire du sport et autres activités (il y a un parcours de santé, on peut courir, faire du VTT, du cheval, etc). Il y a 1200 km de routes donc autant dire que vous n’en ferez pas le tour rapidement.

Si vous prévoyez des randonnées en forêt, vous pouvez vous procurer la carte IGN « Forêts de Compiègne et de Laigue ».

La beauté de la forêt de Compiègne

Que visiter dans les environs de Compiègne ?

Voici quelques idées de visites autour de Compiègne si vous restez un peu plus longtemps sur place.

Château de Pierrefonds

Le village de Pierrefonds, moins de 2000 habitants, se trouve à un quart d’heure de route et abrite un magnifique château. Construit au 14e siècle, le château de Pierrefonds était en ruines quand il a été racheté par Napoléon Ier, puis rénové par Viollet-le-Duc à la demande de Napoléon III. C’est probablement l’un des plus beaux châteaux de France, bien qu’il ne comporte quasiment aucun meuble.

Comptez 2h environ pour le visiter !

Adresse : rue Viollet le Duc à Pierrefonds.
Modalités de visite, horaires et billets ici.

Abbaye royale du Moncel

L’Abbaye royale du Moncel, à Pontpoint (moins d’une demi-heure de route), existe depuis le début du 14e siècle. Située juste à côté de Pont Sainte Maxence, elle a accueilli des religieuses jusqu’à la Révolution française et est aujourd’hui entretenue et animée par des bénévoles, qui la font visiter (en visite libre ou visite guidée) et la louent pour divers événements.

Vous pouvez retrouver les tarifs et périodes d’ouverture sur le site de l’abbaye. Notez que si vous n’avez pas de voiture, vous pouvez tout à fait visiter l’abbaye royale du Moncel en venant par le train. Il existe un TER direction Paris Gare du Nord qui relie la gare de Compiègne et Pont Sainte Maxence en 25 minutes environ. Il faut ensuite marcher un quart d’heure.

Adresse : 5 Rue du Moncel à Pontpoint.

Abbaye royale du Moncel
Abbaye royale du Moncel | Photo © P. Poschadel – Sous licence CC BY-SA 2.0

Visiter Noyon

Noyon a été au Moyen-Âge une ville importante, avec une forte influence religieuse. Charlemagne, ou encore Hugues Capet, ont été sacrés ici. Au-delà de la visite de la cathédrale, on peut se balader dans le quartier qui abritait les maisons des chanoines, visiter les musées locaux (musée Jean Calvin, musée du Noyonnais situé dans l’ancien palais épiscopal)…

Comptez 30 minutes de route depuis Compiègne environ. Là aussi, pour ceux qui n’ont pas de voiture, il est possible d’aller facilement à Noyon en prenant le TER direction Cambrai, il n’y a que 13 minutes de trajet !

Découvrir Soissons

Soissons est un peu plus loin, il faut compter plus de 45 minutes de trajet pour y aller et il n’y a pas de train direct. C’est une ville un peu plus grosse (40000 habitants), qui se distingue par un riche patrimoine architectural, avec là aussi une magnifique cathédrale (Saint Gervais et Saint Protais), plusieurs abbayes (dont Saint-Jean-des-Vignes), des monuments comme le donjon de Septmonts et le château de Berzy-le-Sec en banlieue de Soissons. On peut aussi citer le joli musée d’art et d’histoire Saint-Léger (installé dans l’abbaye du même nom).

De quoi faire quelques découvertes si vous passez un peu plus qu’un week-end à Compiègne.

Combien de temps passer à Compiègne ?

Passer un week-end de 2 jours à Compiègne est un bon point de départ pour visiter les « essentiels » de la ville : une demi-journée au château, une autre demi-journée pour découvrir le mémorial de l’internement et de la déportation et le musée Vivenel. Vous pouvez ensuite consacrer le deuxième jour à la forêt et à la clairière de l’armistice.

Les horaires d’ouverture de certains lieux étant assez réduits, il faut parfois jongler un peu avec le planning (à titre d’exemple, le musée du Second Empire n’est ouvert que le matin de 10h à 12h en « haute saison »… tandis que le musée de la voiture n’est ouvert que l’après-midi de 14h à 18h).

Si vous passez un week-end de 3 jours à Compiègne, profitez-en pour aller visiter le château de Pierrefonds… et si vous restez plus longtemps, pour explorer d’autres villes du coin !

Centre-ville de Compiègne
Centre-ville de Compiègne
Liberthé d'Expresso
Le joli café Liberthé d’Expresso

Comment aller à Compiègne ?

Vous pouvez aller à Compiègne en voiture. L’autoroute A1 ne passe pas loin et il y a plusieurs grands axes à proximité (N31, D13…). Depuis Paris, le temps de trajet dépend beaucoup de votre heure de départ car évidemment, les bouchons parisiens peuvent compliquer de manière dramatique la sortie d’Ile-de-France. En temps normal, il faut environ 1h30 de trajet depuis un point central de la capitale. Comptez 1h35 depuis Reims, 50 minutes depuis Beauvais, 1h10 depuis Amiens.

Compiègne possède pas mal de parkings couverts, que ce soit au niveau de la gare ou de l’autre côté du pont qui enjambe l’Oise, à l’entrée du centre-ville (parking Solférino par exemple). Il y a aussi des places gratuites au niveau du parking Guynemer (situé sur le cours du même nom) ou sur l’avenue Royale à côté du château…

On peut également aller à Compiègne en train. Comptez 39 minutes de TER depuis Paris Gare du Nord, 1h11 depuis Amiens, 1h21 depuis Maubeuge.

Si nécessaire, il existe beaucoup de compagnies de taxis sur place, notamment le taxi Mathilde Langélus qui a très bonne réputation.

Où loger sur place ? Les meilleurs hôtels de la ville

Compiègne reste une petite ville, l’offre hôtelière n’est donc pas pléthorique. On trouve cependant quelques établissements de qualité. Parmi les meilleurs hôtels selon moi, je peux citer :

  • L’hôtel Aiden Best Western : un 4 étoiles au bord de l’Oise, avec restaurant, bar et espace bien-être, à quelques minutes à pied du centre-ville de Compiègne.
  • L’hôtel De Harlay Citotel : un 3 étoiles offrant un bon rapport qualité-prix, situé à proximité du centre et du château de Compiègne (moins de 10 minutes à pied).

Vous pouvez aussi loger en bed & breakfast, voici quelques bonnes adresses :

  • La Parenthèse du Rond Royal – Des chambres avec beaucoup de cachet (poutres apparentes, cheminée, etc), aux portes de la forêt de Compiègne. Le château est à 10 minutes à pied et l’on peut vous prêter des vélos pour vos balades dans le coin !
  • La Maison de Ville, des chambres avec salle de bain privative dans une maison dotée d’un joli jardin à 10 minutes à pied du château de Compiègne.
  • La Villa du Châtelet – Une adresse plutôt destinée à ceux qui disposent d’une voiture, car cette superbe maison construite au 19e siècle par le compositeur Léo Delibes est située à Choisy-au-Bac, à 5 km de Compiègne et non loin du mémorial de l’armistice. Elle offre des chambres spacieuses avec un espace extérieur et une vue sur un beau jardin, ainsi qu’une table d’hôtes de qualité.

Si vous êtes prêt à faire plus de route pour séjourner dans un établissement d’exception, envisagez aussi le célèbre château-hôtel Mont Royal à Chantilly, un établissement 5 étoiles particulièrement réputé pour son spa. Il faudra compter 45 à 50 minutes de trajet pour aller à Compiègne.

La villa du Châtelet près de Compiègne
© Villa du Châtelet près de Compiègne

Bonnes adresses de restaurants à Compiègne

Terminons par quelques bons restaurants et cafés à Compiègne !

On mange plutôt bien sur place ! Citons notamment Les Ferlempins pour une cuisine raffinée, de bons bistrots (Bistrot de l’Imprévu, Bistrot du Terroir, Bistrot du Château, Bistrot des Arts, Bistrot de Flandre), des adresses simples et bonnes comme Le Cordelier ou l’Entre-Mets…

Pour grignoter sur le pouce ou pour le goûter, j’ai littéralement adoré Liberthé d’Expresso (leurs chouquettes maison sont une tuerie, tout comme les macarons et le salé). Le salon de thé Chez Elles est aussi très sympa.

J’espère que cet article vous sera utile si vous envisagez de passer le week-end dans la région !


Hello ! Je suis en congé maternité jusqu'à l'été 2023. Pendant cette période, les commentaires sont fermés.


3 commentaires sur “Que faire à Compiègne ? Visite de la ville
  • Anne

    Coucou Marlène

    J’aime beaucoup Compiègne pour sa vieille ville, son château et surtout son parc. Pour moi Versailles n’a rien à lui envier. Mais le château que je préfère est celui de Pierrefond qui est pour moi l’un des plus beaux châteaux de France .

    • Anne

      Le seul hic c’est que pour aller à Pierrefond il faut obligatoirement une voiture car pas vraiment desservi par les transports en commun

    • Marlène

      Bonjour Anne, j’ai découvert récemment qu’il existait une ligne de bus 657 entre Compiègne et Pierrefonds, elle s’arrête à la mairie de Pierrefonds qui est à deux pas du château. Il y a très peu de passages donc ça reste bien sportif si on veut passer du temps sur place mais c’est déjà ça :)



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